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Calvin et Hobbes - T7 petit format
Que fait la police ?
Collection : Calvin & Hobbes
Date de parution : 13/01/2011
Éditeurs :
Hors collection

Calvin et Hobbes - T7 petit format

Que fait la police ?

Collection : Calvin & Hobbes
Date de parution : 13/01/2011

A l'occasion des 25 ans de la création de la BD culte, la nouvelle série dans un tout nouveau format et à tout petit prix. Les neufs premiers titres sont disponibles.

La série Calvin et Hobbes : un petit bijou d'humour !

EAN : 9782258088665
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 64
Format : 170 x 222 mm
EAN : 9782258088665
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 64
Format : 170 x 222 mm

Ils en parlent

La Marseillaise - 13 octobre 2010
« Confortable à la lecture et économique, le millésime 2010 de Calvin et Hobbes ravira les grands fans, jeunes ou moins jeunes. »

DBD - 01 octobre 2010
« Un beau cadeau à faire ou à se faire offrir.»

1001bd.com - 23 septembre 2010
« De quoi enfin avoir, pour une taille raisonnable, un des séries de strips les plus désopilantes qu'il m'ait été donné de lire ! »

Elle - 17 septembre 2010
« D'une drôlerie et d'une poésie inégalées. »

Wartmag.com - 13 septembre 2010
« Pour fêter les 25 ans de Calvin et Hobbes, les éditions Hors Collection ont eula superbe idée de rééditer toutes les intégrales de la série de Bill Watterson en petit format souple et pas cher. »

Bodoi.info - 07 septembre 2010
« Le petit prix des albums (6.90€) ne peutque vous décider à enfin investir dans ces tendres recueils de bêtises et de considérations quasi-philosophiques, sorties de la bouche d'un enfant pas très sage... »

Planetebd.com - septembre 2010
« Une réédition qui vaut assurément le coup et qui permet aux petits (comme aux grands) néophytes de découvrir une série culte. »

PRESSE

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Vexiana 29/10/2023
    Je pense que Calvin est mon philosophe préféré. Sa vision de la vie, du destin et du quotidien sont vraiment édifiantes. Maintenant, à vivre...heureusement qu'il s'agit d'un personnage de fiction ! Bref, ce tome regorge à nouveau de petites merveilles : Calvinball, Hyperman, Spiff, réunions du DEFI, quêtes philosophiques, considérations culinaires, tortures psychologique de babysitter (et de voisine) et même critique d'art (ah, le gag sur le cubisme)...bref que du bon. Ca manque juste peut-être de quelques gags de bonhommes de neige pour avoir un magnifique panaché des situations typiques de ces bons vieux Calvin Hobbes
  • Fifrildi 02/10/2022
    Calvin continue d’en faire voir de toutes les couleurs à ses parents, à la baby-sitter et cie. Dommage qu’à côté de cela, il ne puisse pas remettre Moe à sa place… J’aime beaucoup les pages complètes où on voit Hobbes dormir, rêver, s’étirer et puis Calvin qui débarque : « - La vie est dure, hein ? T’as fait quoi aujourd’hui ? » J’ai l’impression d’avoir dit cela au moins une fois à mon chat. La série est terminée depuis bientôt 30 ans mais je trouve les situations et les gags intemporels. C’est peut-être aussi car cela me fait penser à mon enfance. Je passais toutes mes vacances chez ma grand-tante et comme la télé restait éteinte toute la journée, je n’avais que mon imagination pour m’occuper. Encore un excellent moment de lecture. Challenge BD 2022 (lu en août 2022)
  • Myriam3 26/03/2022
    Ma lecture annuelle de Calvin et Hobbes! Entre insolences et naïveté, le petit Calvin tente de tracer sa route dans ce monde cruel: obligation de RESTER à l'école, de faire ses devoirs, de prendre le bain, de se lever le matin... c'est dur. Mais le pire c'est quand ses parents de lui se débarrassent de lui une soirée le temps de se requinquer et que la fameuse baby-sitter débarque. Ou quand il doit participer à des des jeux de garçons et respecter des règles. C'est seulement auprès de son tigre en peluche Hobbes que Calvin retrouve un peu de réconfort et peur vraiment vivre sa vie, traverser le temps, voyager dans l'espace, et faire des découvertes scientifiques qui le rendront riche un jour. Dans chaque tome, nous retrouvons les mêmes personnages, les mêmes problématiques et les mêmes gags, et pourtant c'est à chaque fois un vrai bain de jouvence et un plaisir jouissif de retrouver Calvin et Hobbes après quelques mois d'absence!
  • Yvan_T 27/01/2017
    Quoi, vous n’avez pas encore lu Calvin et Hobbes ? Mais, que fait la police ? Vous ne savez pas que les strips de Bill Waterson sont célèbres dans le monde entier et que la série a été couronnée de l’Alph-Art du meilleur album étranger à Angoulême en 1992 et a obtenu plusieurs Eisner Awards aux États-Unis ? En plus, vous pouvez même commencer cette saga mettant en scène un petit garçon de six ans à l’imagination débordante et son tigre en peluche par n’importe quel album… même par celui-ci… sauf que personnellement, ce n’est pas forcément mon préféré. À l’instar des tomes précédents, celui-ci reprend des histoires de différentes longueurs, allant de trois cases à quelques pages. Chacune offre un plongeon mélancolique dans le monde de l’enfance et invite à découvrir les fantasmes, les rêves et le regard critique de ce petit bonhomme sur le monde des adultes et sur la société en général. Au menu de ce septième volet, il y a bien évidemment les gags récurrents qui consistent à éviter la prise du bain ou concernant les monstres sous le lit. Le lecteur a également droit à une nouvelle réunion du club top secret du D.E.F.I. (Dégagez Enormes Filles Informes), créé lors du tome précédent par nos deux amis. La télé est bien évidemment aussi au programme, car celle-ci est jugée indispensable par Calvin, au point qu’il s’assied devant, même lorsqu’il ne peut pas l’allumer. Ce qu’il aime moins par contre, c’est le méchant Moe, qui continue de le menacer physiquement à l’école. Le lecteur a évidemment droit aux récits centrés sur la famille où le père de Calvin n’a besoin que de trois cases pour donner des réponses farfelues aux questions innocentes de son fils (sa théorie de la relativité vaut le détour) ou pour lui raconter une histoire avant d’aller dormir, mais également à des histoires plus longues comme lorsqu’il tente de lui apprendre le baseball afin qu’il puisse jouer avec les autres garçons à la récré. Ce tome prouvera néanmoins que Calvin n’est pas vraiment fait pour les sports d’équipe et qu’il préfère jouer au Calvin-Ball, qui se joue sans règles fixes… Si Susie Derkins, sa petite voisine et souffre-douleur attitrée, est immanquablement au rendez-vous de quelques-unes de ses bêtises, Rosaline, la seule baby-sitter qui accepte encore de venir le garder (contre des sommes astronomiques), est également présente dans cet album. Ses menaces et celles des parents de Calvin semblent cependant avoir eu raison de l’esprit rebelle de Calvin. Et oui, notre petit chenapan est sage comme une image et va gentiment au lit à 20h… ce qui n’est pas forcément le cas d’Hyperman !!! Et oui, notre ami donne une nouvelle fois régulièrement libre cours à son imagination débordante, notamment lorsqu’il voyage dans le temps à bord de sa boîte en carton ou lorsqu’il imagine ses parents en Nepturniens. S’il se transforme inévitablement en Hyperman, sa transformation préférée demeure Spiff. Le désormais célèbre spationaute apparaît ainsi pour tirer des boulettes de papier sur Susie ou afin d’éviter d’aller manger ou d’entrer dans l’eau bouillante du bain. Il incarne même le personnage en pleine partie de base-ball à l’école… et c’est à chaque fois bien rigolo. Pourtant, l’album m’a moins fait rire que d’habitude. Les noms des personnages faisant respectivement référence à Jean Calvin et à Thomas Hobbes, l’auteur abuse cette fois un peu trop de considérations philosophiques. Même lorsqu’il neige, Calvin ne se contente plus d’envoyer des boules de neige dans la tronche de Susie ou d’effectuer des descentes périlleuses en luge à la recherche d’une poussée d’adrénaline, mais va s’essayer à l’art. Il va ainsi créer des bonshommes de neige « œuvres d’art » qui expriment quelque chose de profond. Outre l’art-neige et l’art abstrait monochrome constitué de poudre blanche, Calvin se transforme également en faussaire d’art moderne et récite des Haiku, ainsi que de poèmes cochons en rotant (ouf !). À l’instar du tome précédent, Bill Watterson se permet d’ailleurs à nouveau une petite « folie » artistique au niveau des perspectives lorsque tout devient néo-cubiste. Légèrement moins bon que les tomes précédents, mais toujours excellent !Quoi, vous n’avez pas encore lu Calvin et Hobbes ? Mais, que fait la police ? Vous ne savez pas que les strips de Bill Waterson sont célèbres dans le monde entier et que la série a été couronnée de l’Alph-Art du meilleur album étranger à Angoulême en 1992 et a obtenu plusieurs Eisner Awards aux États-Unis ? En plus, vous pouvez même commencer cette saga mettant en scène un petit garçon de six ans à l’imagination débordante et son tigre en peluche par n’importe quel album… même par celui-ci… sauf que personnellement, ce n’est pas forcément mon préféré. À l’instar des tomes précédents, celui-ci reprend des histoires de différentes longueurs, allant de trois cases à quelques pages. Chacune offre un plongeon mélancolique dans le monde de l’enfance et invite à découvrir les fantasmes, les rêves et le regard critique de ce petit bonhomme sur le monde des adultes et sur la société en général. Au menu de ce septième volet, il y a bien évidemment les gags récurrents qui consistent à éviter la prise du bain ou concernant les monstres sous le lit. Le lecteur a également droit à une nouvelle réunion du club top secret du D.E.F.I. (Dégagez Enormes Filles...
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  • Crazynath 24/02/2016
    Je crois que cette couverture est ma préférée de la série !! Elle est à mourir de rire . Voir les parents s'escrimer contre cette petite teigne de Calvin qui refuse de lâcher prise !... Il est vrai que les parents de ce jeune homme sont ses cibles privilégiées. Son père, un rien désabusé parvient à prendre du recul par moments, mais comme tout le monde, il a ses limites et peut craquer ! je reconnais que je lis de temps en temps un album, rien que pour me changer les idées et je suis sure en plus d'avoir le sourire aux lèvres au bout de quelques pages... Et puis, son adorable compagnon imaginaire, Hobbes, je le trouve trop craquant, surtout quand il se prend pour un philosophe...
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